Liste des films

 

LISTE DES FILMS ACQUIS

PAR L’ASSOCIATION AUX CINEPHILES DE L’EAU

 

Nous avons obtenu les droits des films cités dans cette liste pour des diffusions non-commerciales, soit par le réalisateur, le producteur, le distributeur ou les ayants droit tels que le Ministère des affaires étrangères.

•  Ayant les attaches de l’alliance franco-sénégalaise à Ziguinchor, nous pouvons emprunter leurs films qui sont libres de droits. L’alliance possède plusieurs coffrets de films africains, voici quelques titres de films que nous souhaitons projeter :

Le coffret « Les étalons de Yennenga 1972/2005 » :

. Coffret 1 =

Tilai , de Idrissa Ouédraogo (1991), Burkina-Faso.

Buud yam , de Gaston J-M Kaboré (1997), Burkina-Faso.

Pièces d’identités, de Mweze Ngangura (1999), République démocratique du Congo.

Heremakono , de Abderrahmane Sissako (2003), Mauritanie.

. Coffret 2 =

Baara , de Souleymane Cissé (1979), Mali.

Finye , de Souleymane Cissé (1983), Mali.

Sarraounia , de Med Hondo (1987), Mauritanie.

– Le coffret « L’Afrique se filme » :

. Longs métrages =

Madame Brouette de Moussa Sene Absa, Sénégal.

Le prix du pardon de Mansour Sora Wade, Sénégal.

Abouna de Mahamat-Saleh Haroum, Tchad.

Moi et mon blanc de Pierre Yaméogo, France.

. Coffret de 11 documentaires :

Mémoire entre deux rives , de Wolimitié Sié Palenfo et Frédérique Savoye, Burkina-Faso.

Poussières de ville de Moussa Touré, Sénégal.

Rwanda pour mémoire , de Samba Félix N’Diaye, Sénégal.

Traces, empreintes de femmes , de Katy Léna Ndiaye, Sénégal.

Xalima la plume , d’Ousmane Williame Mbaye, Sénégal.

 

•  Films dont nous avons obtenu les droits par le réalisateur et/ou le producteur :

Un matin bonne heure , de Gahité Fofana (2006), Guinée.

– Sango Malo, de Bassek Bah Kobhio (1991), Cameroun.

Keita, l’héritage du griot , de Dani Kouyaté (1994), Burkina-Faso.

Sia, le rêve du python , de Dani Kouyaté (2001), Burkina-Faso.

Bul déconné , de Massaër Dieng et Marc Picavez, (2005), Sénégal.

France-Brésil et autres histoires , de Marc Picavez, (2006), Sénégal.

Jaaro Bi, de Mamadou Guddi Thiandoume (2007), Sénégal.

Den Baya (L’amour maternel) , de Dragoss Ouedraogo (1992), Burkina-Faso.

Tlé wili (Soleil Levant) , de Dragoss Ouedraogo, (2003), France.

Ma femme est Yéré , de R. Lobry, J.Rouillier et S. Vauguin (2003), Afrique de l’Ouest.

Kirikou , de Michel Ocelot (1998), France.

Kirikou et les bêtes sauvages , de Michel Ocelot (2005), France.

L’Afrance , d’Alain Gomis (2002), France.

Petite Lumière , d’Alain Gomis (2003), France.

– Aminata rencontre Aminata, de Jean-Jacques Lion (2008), France.

+ des films de sensibilisations :

•  Moussa le Taximan , 7 fictions de 4,25 minutes et 6 fictions de 6, 30 minutes de Henri Duparc, sur la lutte contre le SIDA, produit par Partenaire Radio (en français – DVD),

•  Scénarios du Sahel et Scénarios d’Afrique , vingt huit courts métrages de fiction sur le SIDA basés sur des idées originales de jeunes africains et réalisés par de grands réalisateurs africains (Fanta Régina Nacro, Cheick Oumar Sissoko, Idrissa Ouédraogo, Pierre Sauvale, Newton I. Aduaka, Hamet Fall Diagne, Olga Kiswendsida Ouédraogo, Mahamet-Saleh Haroun, Abderrahmane, Sissako), projet coordonné par Global Dialogue (en français et en VOST – DVD)

•  Gnando, enfant sorcier , de Marino Mercuriali.

 

films sur l’émigration en Afrique :

A Sud Di Lampedusa , d’Andrea Segre (2007), Italie.

Barcelone ou la mort , d’Idrissa Guiro (2007), France.

– Tout à refaire, de Sadio Doukouré (2006), France.

 

Films sur la pêche produits par l’ONG Oceanium :

•  Bamboung un exemple à suivre , sur l’Aire Marine protégé du Bamboung dans le delta du saloum.

•  Chronique d’une mort annoncée , sur la pêche aux requins en Afrique de l’Ouest.

•  Ba kagne , sur la pêche des juvéniles au Sénégal.

 

Nous avions donc à bord de nombreux DVD mais une fois sur place, nous avons révisé notre programmation. Tout d’abord, organisant dans la plupart des cas des projections plein air avec tout le village, on pensait qu’il était préférable de passer une fiction « tout public », qui plairait autant aux jeunes qu’aux plus anciens du village, avec une trame pas trop compliquée à comprendre pour les enfants et les personnes n’ayant pas l’habitude de voir des films (c’est à dire presque tout le monde !). Ensuite, on a également été confronté à la barrière de la langue, on a préféré projeter des films en français ou en woloof donc des films du Sénégal, du Congo, du Cameroun, en laissant de côté les films maliens et les films burkinabais par exemple.

Nous avons donc souvent passé les mêmes films car comme on changeait de villages, les gens n’avaient pas vu le film que l’on avait passé la fois d’avant, et surtout, on savait ce qui plaisait !

Lorsque l’on organisait des projections pour les enfants, nous diffusions le plus souvent Kirikou et pour les projections avec les collégiens, les profs nous demandaient souvent les courts-métrages sur le sida ou des documentaires sur l’émigration.